Association So What
Ecouter, jouer, aimer le jazz sur la Côte d'Azur

"Sans la musique, la vie serait une erreur" - Friedrich Nietzsche
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Les dernières mises à jour :

- La campagne d'adhésions/cotisations 2025 à l'Association So What est ouverte !
- Concert du dernier samedi du mois de mars au So What, avec le duo David Amar/Claude Tedesco
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT participait à l'animation de la "messe des artistes" à Nice le 4 mars
- Soirée "chansons" au So What, le 8 mars, avec le groupe NABIS
- Concert du "dernier samedi du mois" au So What : c'était le 22 février, avec le Smail Benhouhou Quartet
- Rentrée des "derniers samedis du mois" au So What, le samedi 25 janvier, avec le Quartet du saxophoniste Franck Taschini
- L'édito d'Alex, janvier 2025 : ghost notes
- Barre Phillips s'en est allé...
- Le quartet Compagnie So What était en concert à Entrevaux le 30 novembre, à l'invitation de l'Association Pacte 04
- JAZZ SOUS LES BIGARADIERS 2024 : un très grand cru !
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert le samedi 19 octobre à la Bibliothèque Raoul Mille de Nice
- C'était la rentrée des "derniers samedis du mois" au So What, le samedi 28 septembre, avec le Arnoise Jazz Project
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était en projection/concert le dimanche 22 septembre à la Société Centrale d'Agriculture et d'Horticulture de Nice
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert le dimanche 15 septembre à 16h pour "Jazz in Church"
- L'édito d'Alex, août 2024 : rien n'est vraiment à soi
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert dans les jardins du Vallon du Brec à Coursegoules, le dimanche 25 août
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était au festival de PORQUEROLLES les 6 et 7 juillet
- Concert du "dernier samedi du mois"So What, le 29 juin, avec le trio du guitariste Pierre Bertrand
- L'édito d'Alex, juin 2024 : de l'importance du silence et de la retenue dans le jazz
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était à "FESTI'VENCE" le 30 juin
- Le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert à Crémat, le 16 juin
- "Dernier samedi du mois de mai au "So What, avec le Luc Fenoli Jazz Time Trio
- Le quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert à la TRINQUETTE de Villefranche sur Mer le vendredi 31 mai
- "Dernier samedi du mois" d'avril au So What, avec le groupe GEESS
- "Dernier samedi du mois" de mars au So What, avec le Giuseppe Fabris Monk Project
- L'édito d'Alex, mars 2024 : Au commencement était le rythme...
La campagne des cotisations 2025 à l'Association So What  est ouverte !

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Concert du "dernier samedi du mois" de mars au So What de La Gaude


Encore une formidable soirée, avec le duo de David Amar et Claude Tedesco !


Pour son concert rituel du dernier samedi du mois, et après le premier set du quartet Compagnie So What, notre club recevait ce duo étonnant et détonnant, indéfinissable : de superbes chansons, signées David Amar, Claude Tedesco ou Yona Yacoub, installées dans un écrin de sons superbes, avec des envolées d'improvisation qui les ancrent dans les fondements du jazz, interprétées avec beaucoup d'émotion par David et baignées dans le son profond et enveloppant du piano de Claude... Mélange de finesse, de sensibilité et de sobriété, malgré la complexité technique. On attend avec impatience l'album qui sortira dans un mois... Oui, quelle soirée encore au So What !

David AMAR a l’âme chercheuse et le goût de l’expérimentation.
Vocaliste multi-piste, homme-contrebasse, saxophoniste électrique, il est une figure incontournable d’un jazz décomplexé toujours en mouvement. Grâce à sa tessiture élargie, il se fait ici caméléon vocal et son arsenal de pédales d’effets lui permet d’oser de troublants dédoublements de personnalité. Il embrasse à bouche-que-veux-tu sa langue natale, le français, qui toise le jazz sans complexe. "Après six ans passés à explorer la composition spontanée, j'avais soif de raconter des histoires de vie, de mettre en mots l’intime, les peurs, l’enfance, sans renier mon instinct d’improvisateur. Chaque chanson reflète une partie des moments les plus bouleversants de mon existence".
La complicité avec le pianiste-chanteur Claude Tedesco est évidente. Celui-ci escorte avec élégance, son compagnon de route, attentif à explorer intensément les émotions distillées par chaque chanson. Claude Tedesco, Premier Prix du Conservatoire National de Nice, est multi-instrumentiste : nous l'avons reçu comme violoniste au So What, avec le Minor Swing Quartet. C'est en tant que pianiste que nous le retrouvions ici, dans un duo détonnant et passionnant !

Photos Laurent Lapchin

Soirée "chansons" au So What :

c'était le 8 mars, avec le groupe

NABIS


Événement annuel incontournable, la soirée chansons du groupe NABIS (Sophie Serafino, voix; José Serafino, guitare; Bernard Fournié, guitare) au So What a de nouveau rassemblé les amateurs de belles chansons françaises. Un régal pour les oreilles et une bien belle soirée, chaleureuse, drôle, fervente, comme on les aime... Merci à tous !


Photos : Martine et Laurent Lapchin

Photos : Gilles Dehais

Le Quartet Compagnie So What


participait à l'animation de la "messe des artistes",

le mardi 4 mars, à l'église Saint-Martin Saint Augustin, dans le Vieux Nice.

(photos : Martine Lapchin)


Concert du "dernier samedi du mois" au So What :

c'était le 22 février, avec le

Smail Benhouhou Quartet


Comme souvent au So What, le public était au rendez-vous. C'est dans une salle comble que tout le monde s'est retrouvé, avec l'ambiance des grands soirs : des sourires, des rires, des émotions...

En première partie, le Quartet Compagnie So What  était en grande forme ! En deuxième partie, nous avons reçu pour la première fois le SMAIL BENHOUHOU QUARTET. Une musique presque acoustique, tout en légèreté, avec des musiciens inspirés, qui a envoûté l'assemblée. Comme quoi, dynamisme et finesse peuvent faire bon ménage dans le jazz. Une musique au service d'un répertoire constitué essentiellement de belles compositions, pleines de rencontres entre des cultures si différentes et si complémentaires... Le quartet nous a emmené, pour un voyage haut en couleurs, depuis les rives de la Méditerranée jusqu'aux Caraïbes, en passant par l'Afrique subsaharienne.

Natif d’Alger, Smail a côtoyé de grands noms tels Munyungo Jackson, Chico Freeman, Karim Ziad, Decebal Badila, Mokhtar Samba, l’Orchestre National de Barbès... Riche et éclectique, sa musique emprunte volontiers au genre Chaabi et à la musique des Gnawas.

Le pianiste est accompagné par une équipe talentueuse, avec Luca Scalambrino à la batterie, Willy Quiko à la contrebasse et Adhil Mirghani aux percussions (cajon, derbouka, karkabou, bongos).

(photos : Sophie Serafino, Jacques Lerognon)


Pour ceux qui n'étaient pas là (et ils ont eu tort... ), une idée de l'ambiance de ce 22 février, avec la Compagnie So What et le morceau "Tout Acò Ensen" d'Alex Benvenuto, avec une vidéo de Sophie Serafino...

La rentrée des concerts du "dernier samedi du mois" au So What :

c'était le 25 janvier, avec le

Quartet du saxophoniste Franck Taschini


C'était la rentrée des concerts du "dernier samedi du mois" au So What de La Gaude.

Quelle ambiance ! Après l'effervescence du festival Jazz sous les Bigaradiers puis la période des fêtes, la COMPAGNIE SO WHAT ouvrait la soirée, en format quartet, et retrouvait pour un morceau le saxophoniste Thomas Guillemaud qui fut durant 24 ans membre du groupe. Séquence émotion...

Ensuite, comme c'est rituellement le cas depuis des années, la deuxième partie de cette soirée de janvier était confiée à notre vieux complice, le saxophoniste Franck Taschini, venu cette fois-ci en quartet avec Laurent Rossi au piano, Alberto Micciché à la basse et Jérôme Achat à la batterie. Et cerise sur le gâteau, le bœuf a permis de savourer l'apport de deux saxophonistes d'exception : Tullia Morand à l'alto et Pierre Mimran au ténor. Encore une soirée mémorable !

(photos : Sophie Serafino, Jacques Lerognon, Laurent Lapchin)




L'édito d'Alex : janvier 2025


De l’utilisation des consonnes à l’art des "ghost notes"


Les écritures les plus anciennes sont dites consonantiques, c'est-à-dire dont les lettres de base sont des consonnes. Les voyelles sont implicitement dictées par la phonétique : le lecteur doit connaître la langue pour en rétablir toutes les voyelles. C’est encore vrai aujourd’hui pour l’hébreu, l’arabe ou le syriaque.

N’est-ce pas aussi le cas de nos « ghost » notes en improvisations Jazz ? (Notes mortes ou notes muettes que l’on ne joue pas mais que les auditeurs croient entendre, et qui permettent de mettre en valeur les notes jouées). 

Mais revenons à l’écriture et lisons cette phrase, écrite en français avec un alphabet sans voyelles que nous remplacerons par un point.

L. tr.mp.tt. .st l’.str.m.nt r.. d. l. m.s.q.. q.. l’.n .t.l.s. d.ns l.s .rch.str.s d. j.zz

Avec un alphabet de 26 lettres, la phrase devient :

La trompette est l’instrument roi de la musique que l’on utilise dans les orchestres de Jazz.

Vous percevez immédiatement les ambiguïtés qui peuvent exister pour cette simple phrase. On aurait pu lire trempette au lieu de trompette, etc…

Ecrite comme sur les stèles à la mode romaine, la même phrase aurait été :

LATROMPETTEESTLINSTRUMENTROIDELAMUSIQUEQUELONUTILISEDANSLESORCHESTRESDEJAZZ

Ben oui, l’espace entre les mots a été « inventé » au IV° siècle, et la virgule date de la Renaissance.

C’est bien ce qui fait toute la force de nos « ghost » notes en Jazz.

Certains pensent que c’est parce qu’on trichotte lorsque c’est trop difficile à jouer.

Mais non, c’est uniquement pour laisser à l’auditeur le plaisir d’entendre, d’écouter des notes que l’on ne joue pas… et que pourtant il aime.

Bon… soyons un peu honnêtes pour commencer l’année 2025. Parfois ça nous arrange quand même pour certains thèmes, les « ghost » notes !


Retrouvez tous les éditos ICI


Barre Phillips s’en est allé…

En cette fin décembre, un musicien aussi grand qu’il était simple et discret dans la vie nous a quittés à 90 ans. Barre était le président d’honneur perpétuel de notre festival Jazz sous les Bigaradiers, où il s’était produit plusieurs fois, notamment avec son fils Dave. Il avait aussi offert une master class inoubliable pour les contrebassistes de notre région qui y avaient participé. On le voyait parfois dans les soirées du dernier samedi du mois du So What où son sourire et sa gentillesse faisaient partie des lieux. Pour nous, c’était un musicien de légende, comme le retrace Franpi Barriaux dans Citizen Jazz (voir ci-dessous), mais c’était aussi un ami cher, avec qui nous avons partagé des moments de complicité - au coin du bar du So What, dans le vieux Nice, ou dans son repaire de Puget-Ville - mais aussi des échanges profonds sur la musique ou sur la vie. Merci pour tout Barre !
(photos : Alex Benvenuto, Gérard Demonchy, Laurent Lapchin)

Barre Phillips s’en remet au silence - Tribune de Franpi Barriaux dans Citizen Jazz (via Claude Soiron)

Figure incontournable des musiques improvisées depuis la fin des années 60, le contrebassiste étasunien Barre Phillips a semblé mener de front mille vies musicales sans jamais abdiquer sa grande liberté artistique, principalement acquise en Europe. Pionnier de la contrebasse soliste, friand de rencontres fraternelles avec ses collègues contrebassistes, il avait acquis avec le temps un statut de musicien tutélaire, à la présence parfois lointaine depuis le début de la décennie mais pourtant toujours central et référentiel. Il est décédé à la toute fin de l’année 2024 à l’âge de 90 ans.
Ce qui perdure parmi les souvenirs que l’on garde de Barre Phillips, c’est l’idée d’une contrebasse perçue comme un être vivant. Dans l’approche musicale de celui qui fera paraître Journal Violone en 1969, vite devenu Basse Barre chez Futura&Marge en 1970, la contrebasse n’est pas que bois et cordes ; il y a une vie qui s’insuffle du chevalet aux chevilles et qui permet à la sensualité de prendre voix et corps, à pleine main où à l’archet. Une démarche qui a marqué durablement les musiques improvisées et le jazz européen comme transatlantique, et la carrière même de Phillips : End to The End, en 2018 chez ECM, sera son dernier solo, avec le même souci de dialoguer avec son instrument ; le temps avait simplement donné une patine, une quiétude fondamentalement zen où le silence avait largement fait sa place.
Ce dialogue, Barre Phillips l’a institué avec de nombreux autres contrebassistes. On citera pour l’Histoire Dave Holland, puisque c’est avec lui et toujours chez ECM qu’il a publié Music for Two Basses, un monument à la forme nouvelle, devenu depuis canonique : le dialogue entre basses, la passementerie des archets et des résonances du bois a été largement illustrée, depuis, par Phillips lui-même. On pense bien entendu à Joëlle Léandre dont le parcours, à l’instar de Douze Sons sorti chez nato, est marqué par la fraternité avec Phillips dont « Basse Profonde » est une forme de manifeste. Leur discographie commune n’est pourtant pas pléthorique, mais on notera un A l’improviste en 2011 chez Kadima Collective où chacun est dans son rôle : Joëlle, la tempête, enserre le vieux chêne Phillips qui ploie mais ne rompt pas, tout en quiétude.
Barre Phillips et Joëlle Léandre © Yann Bagot
D’autres contrebassistes viendront se joindre à l’exercice, de Peter Kowald, dix ans après Basse Barre (Die Jungen : Random Generator) [1] à Teppo Hauta-Aho (To Face The Bass enregistré lors d’un spectacle en prison en Finlande) en passant par Barry Guy pour le remarquable Arcus, paru en 1991, sans doute une des œuvres les plus profondes et les plus intimes de sa discographie, l’ensemble des soli Journal Violone mis à part ; ces duos comme les aventures solistes sont à envisager comme autant de chapitres d’un journal intime, un marquage profond dans le temps. Il en alla de même avec le Bass Ensemble, tribut à sa grande connaissance du free et des musiques improvisées japonaises, notamment en compagnie du regretté Tetsu Saitō. Ces rencontres, parfois furtives ou sur le long cours, ne se limitaient pas aux contrebasses, voire même aux duos : notons d’autres instants intimes, notamment avec des guitaristes (Derek Bailey, Joe Morris), des saxophonistes (Lol Coxhill ou Urs Leimgruber) ou dans le très beau trio ALP avec Barry Altschul et Denis Levaillant. L’idée est d’instaurer une forme de douceur dans un univers très graphique, très proche des arts plastiques et inspiré du vivant. Une ligne directrice pour ce passionné de nature qui aimait parler de son jardin provençal où il s’était installé avec sa femme dès les années 70.
S’il a commencé sa carrière discographique avec Atilla Zoller aux Etats-Unis en 1965, marquant une longue collaboration avec des musiciens hongrois (jusqu’à György Kurtág Jr, toujours chez ECM en 2021, Face à Face, mais aussi avec István Grencsó), c’est en Europe que Barre Phillips a connu sa carrière la plus florissante. Ce fut le cas notamment avec John Surman et Michel Portal dès 1970 pour Futura&Marge (Alors !!!) un des labels qui lui furent les plus fidèles avec la maison nato. C’est en effet chez Jean Rochard que Barre Phillips enregistra No Man’s Zone avec Emilie Lesbros en 2017 autour de Fukushima. C’est à cette occasion qu’il nous livra un bel entretien.
Musicien au geste précis qui croisa dès les années 60 Ornette Coleman [2], Jimmy Giuffre et Eric Dolphy [3], Barre Phillips restera une légende de son instrument de chaque côté de l’Atlantique, marquant de son image et de sa sonorité la musique créative et exigeante pendant six décennies qu’il aura contribué à chambouler.

Le quartet COMPAGNIE SO WHAT

était en concert à Entrevaux, à l'invitation de l'association Pacte04

le samedi 30 novembre 2024

(photos : Pacte 04)


Un accueil plus que chaleureux, dans un restaurant du Pont Levis comble, un public attentif et enthousiaste... Tout ce qu'il fallait pour passer une super soirée, avec nos amis Hélène et François de Pacte 04. Un grand merci à tous !


Découvrez tous les détails :

ICI

La COMPAGNIE SO WHAT en quartet était en concert à Nice,

le samedi 19 octobre à la Bibliothèque Raoul Mille de Nice,

avec en invité surprise le saxophoniste Franck Taschini


Le concert affichait complet. Et ce fut un bon moment de partage avec un public attentif et chaleureux. Un grand merci à l'organisatrice !

(Photos : Martine Lapchin)



C'était la rentrée des concerts du "dernier samedi du mois" au So What, le

samedi 28 septembre, avec le

ARNOISE JAZZ PROJECT


Le club SO WHAT rouvrait ses portes en ce dernier samedi de septembre, après la trêve estivale. Une salle pleine, un public attentif et chaleureux, en osmose avec la musique et avec le lieu... Comme toujours, depuis 28 ans, la soirée fut superbe.
Après le set de la COMPAGNIE SO WHAT, en format quartet, nous avons reçu le ARNOISE JAZZ PROJECT. Depuis plus de 20 ans, Arnoïse, batteur ultra-polyvalent, forme des groupes inédits en s'associant toujours aux meilleurs musiciens de la Côte. Pour cette soirée, avec ses compères Fred D'Oelsnitz au piano et Lasha Lucaselias à la basse, il nous a proposé des compositions jazz funk fusion originales et des reprises revisitées étonnantes et détonantes truffées d’improvisations : Chick Corea, Herbie Hancock, Hendrix, Coltrane, Miles Davis, Stevie Wonder, etc. Quelle soirée encore !
Et retrouvez-les le lundi 4 novembre, dans le cadre du festival "Jazz sous les Bigaradiers", salle de La Coupole, en première partie du film sur Astor Piazzola, en collaboration avec les Journées Cinématographiques de Vence.
Photos : Sophie Serafino


Arnoïse, batterie

Fred D'Oelsnitz, piano

Lasha Lucaselias, basse


(toutes les photos ICI)



La COMPAGNIE SO WHAT en quartet était en projection/concert à Nice,

le dimanche 22 septembre à 18h

à la Société Centrale d'Agriculture et d'Horticulture de Nice,


Avec une improvisation en direct sur le film culte de Jean Vigo "A propos de Nice"


Il y avait conférence/projection/concert ce dimanche 22 septembre, à la Société Centrale Agriculture et d'Horticulture de Nice, avec le Quartet Compagnie So What et Michel Seyrat.

La magnifique salle du Palais de l'Agriculture, trônant sur la Promenade des Anglais, était comble, malgré les difficultés de circulation et d'accès dues à l'IronMan... Après une présentation lumineuse de Michel Seyrat, pour illustrer la vie et l’œuvre de Jean Vigo et le rôle considérable qu'a joué ce court film dans l'histoire du cinéma, les images de "A propos de Nice" ont captivé l'assistance, ponctuées par les improvisations de la Compagnie So What. Un moment particulier de partage et de plaisir.

Merci aux organisateurs, et merci au public enthousiaste !


(photos : Martine Lapchin)

La COMPAGNIE SO WHAT en quartet était en concert au Temple protestant de Menton,

le dimanche 15 septembre

pour "JAZZ IN CHURCH"


Le dimanche 15 septembre, le Quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert à l'église protestante de Menton, dans le cadre de Jazz in Church. Un grand plaisir pour les musiciens, de partager ces moments avec un public chaleureux et complice.

Un grand merci au pasteur Walter et à Christian Rungi pour leur invitation !

(photos : Christian Rungi, Martine Lapchin)



L'édito d'Alex : août 2024


Rien n’est vraiment à soi


Georges Brassens disait dans une interview : « je pense que si on enlevait tout ce que les autres m’ont donné, si l’on pouvait effacer toutes les influences reçues depuis l’enfance (…), il resterait vraiment peu de choses. Rien n’est vraiment à soi. »

C’est un avis que je partage depuis toujours. Ainsi, lorsqu’un musicien de Jazz improvise ou interprète un thème, même le sien, des images, des phrases, des idées qui lui viennent à l’esprit sont des traces de phrases musicales déjà entendues.

On repère parfois la source de quelques unes de ces traces en réécoutant des CD de grands Jazzmen. Mais, pas que… il y a aussi toutes les notes des musiciens qui viennent jouer au So What depuis tant de belles années, et qui imprègnent les murs. Et encore (surtout ?) les phrases que les autres musiciens de la Compagnie So What viennent de jouer et que l’on reprend, ou poursuit, ou complète.

Et ces traces, on les joue pour chaque personne dans la salle. Être sur scène, ce n’est pas dire « écoutez-moi », c’est penser « qu’est ce que je peux apporter au groupe, et offrir à ceux qui nous écoutent. »

C’est se régaler en écoutant les autres musiciens jouer pour le public.

(photo : Sophie Serafino)


Retrouvez tous les éditos ICI

Le quartet Compagnie So What était en concert dans les jardins du Vallon du Brec, à Coursegoules, le dimanche 25 août 2024.


La Compagnie So What, en version quartet, était en concert dans les jardins du Vallon du Brec (classés "Jardins remarquables"), à Coursegoules, le dimanche 25 août2024.
La foule des grands jours était présente pour ce concert champêtre, dans ce lieu magique, où la musique semble se fondre parmi les essences rares ou communes qui peuplent les méandres des chemins et les espaces qui appellent au repos ou à la méditation. Les musiciens comme le public sont en osmose avec l'endroit... Musiciens et public, en osmose, ont profité de l'instant, avant de déguster pissaladière et pizza de Xavier le boulanger autour du verre de l'amitié. Des moments comme on les aime !


Toutes les photos : ICI

Le quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert pour le off du festival

JAZZ A PORQUEROLLES

les 6 et 7 juillet



La COMPAGNIE SO WHAT, en format quartet, était très heureuse de retourner à Porquerolles, deux ans après son dernier passage. A l'époque, une personne discrète et bienveillante se trouvait dans le public : notre ami Frank Cassenti, créateur et organisateur du festival de Porquerolles. Cette année, c'est donc tournés vers le ciel que nous lui avons offert ces concerts. Salut Franck !

Les élections législatives ont quelque peu perturbé le déroulement des concerts du "off" cette année à Porquerolles : la "Maison du Commandant" devait en effet les accueillir dans ses jardins mais le bâtiment avait été fermé pour installation d'un bureau de vote... Le samedi 6, le concert de la Compagnie So What s'y est tout de même déroulé, mais sans chaises pour le public. Le lendemain, nous avons été aimablement accueillis par la terrasse du restaurant "Côté Port", dans des bien meilleures conditions. Quoi qu'il en soit, c'est avec grand plaisir que le quartet a déroulé ses thèmes, dont le "Guy Dance" du batteur Aldo Romano, figure emblématique du festival. Un grand merci aux organisateurs et aux bénévoles qui ont dû jongler avec les circonstances !

Photos Cédric Fioretti

Photos Laurent Lapchin

C'était le dernier concert du "dernier samedi du mois" au So What, avant la trêve estivale, le 29 juin, avec le trio du guitariste PIERRE BERTRAND


Chaude soirée de clôture ! Une bien belle ambiance, détendue et amicale, pour l'une des premières vraies soirées d'été de la saison. Tout était au mieux pour la fête.

En première partie, la Compagnie So What était privée pour un soir de son saxophoniste Thomas Guillemaud. C'est donc en quartet que la Compagnie a commencé son set, vite renforcée par un autre saxophoniste, ami très cher et l'un des premiers musiciens à s'être produit dans les lieux, voici 28 ans : Franck Taschini. Le groupe s'en est donné à coeur joie !

En deuxième partie de soirée, nous avons reçu pour la première fois le grand guitariste Pierre Bertrand, accompagné du jeune et talentueux contrebassiste Clément Douziech, lui aussi nouveau venu, et d'un habitué des lieux, l'excellent batteur Jérôme Achat. Un répertoire riche, des interprétations intenses et émouvantes, comme cette adaptation très personnelle et très réussie du célèbre Wonderful World d'Armstrong. Et pour terminer cette belle session, Franck Taschini a rejoint le trio pour le bonheur de tous.

Bon été, et merci à tous, musiciens et bénévoles, qui font vivre le club So What; rendez-vous pour le dernier samedi de septembre !


Ce Trio, créé en 2014, est une formation à l'origine du guitariste Pierre Bertrand concrétisant un vieux rêve de s'essayer humblement dans la voie des trios guitares magiques de maîtres modernes comme John Abercrombie, Rosenwinkel, Metheny, etc... Le répertoire alterne standards arrangés pour le Trio et compositions originales dans un esprit très « acoustique ». Le batteur Jérôme Achat et le contrebassiste Clément Douziech sont les complices idéaux de cette expérience... Après avoir mûri son répertoire au fil de nombreux concerts, le Trio est rentré en studio en 2022 pour graver sa musique. Douze titres sur un album au titre évocateur, "Relaxin' In Antibes".

Pierre Bertrand: guitares, compositions

Jérôme Achat: batterie,

Clément Douziech: contrebasse

Franck Taschini : saxophone ténor


(toutes les photos ICI)



L'édito d'Alex, juin 2024



De l’importance du silence et de la retenue dans le Jazz


Contrairement à Raymond Devos qui affirmait : « Moi, lorsque je n'ai rien à dire, je veux qu'on le sache », j’ai quelque chose à vous dire et je souhaite que vous le sachiez.


J’ai découvert Miles Davis l’année du Bac.

Bien sûr, le son de sa trompette ne m’était pas inconnu et j’avais vu (et écouté la musique de...) « Ascenseur pour l’échafaud ». Mais j’arrivais à un âge où on analyse mieux ce qui se passe entre nos deux oreilles. Et en préparant une soupe au pistou pour les 4’Z’Arts* à Coursegoules, j’ai vraiment entendu à la radio cette musique. L’intelligence du thème, le phrasé reconnaissable entre mille (Davis). Il devint dès lors l’homme qui me calme, qui sait ne pas faire trop de notes. Je n’eus de cesse alors de collectionner ses albums.

Les c’étaitmieuxavantistes n’ont qu’à bien se tenir. Il sut évoluer et rester intemporel.

Plus qu’un simple musicien, il fut un compositeur, un innovateur et un visionnaire.

Il disait aux jeunes musiciens, qu’il savait découvrir, que l’important, « ce ne sont pas les notes que vous jouez, mais les notes que vous ne jouez pas. » II dit tout avec une superbe économie de moyens. J’ai depuis aimé beaucoup d’autre immenses musiciens, mais n’y ai jamais rencontré la même concision. Il savait quand ne pas jouer, laissant l’espace entre les notes parler pour lui. Et si, parfois, il se bouchait les oreilles sur scène, c’était pour mieux entendre les solos des autres musiciens.


Un coup à choisir le nom de So What pour un club et une compagnie de Jazz... et alors !


* ancêtres de la Compagnie So What



Retrouvez les autres éditos ICI

Le quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert pour

FESTI'VENCE

le dimanche 30 juin

Photos : Sophie Serafino

Le quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert à la TRINQUETTE de Villefranche-sur-Mer le vendredi 31 mai

Ambiance de feu dans ce haut lieu du jazz de la Côte d'Azur, avec une salle comble et un public... comblé. Le quartet COMPAGNIE SO WHAT s'en est donné à coeur joie avec ses deux sets. Un grand merci à La Trinquette, à son personnel, aux bénévoles, pour ces grands moments de plaisir !

Le quartet Compagnie So What :

Alex Benvenuto, clarinette basse, compositions

José Serafino, guitare, compositions

Laurent Lapchin, trompette, bugle

Jean-Marc Laugier, contrebasse



Le quartet COMPAGNIE SO WHAT était en concert à Crémat, sur les hauteur de Nice,

le 16 mai

Un grand merci à nos hôtes, au public chaleureux, et à l'organisateur, notre ami contrebassite Gilles Baud. On y reviendra !!!

Le quartet Compagnie So What :

Alex Benvenuto, clarinette basse, compositions

José Serafino, guitare, compositions

Laurent Lapchin, trompette, bugle

Jean-Marc Laugier, contrebasse


Photos : Sophie Serafino

Concert du "dernier samedi du mois" au So What, le 25 mai, avec le LUC FENOLI JAZZ TIME TRIO


C'était un "dernier samedi du mois" au So What comme on les aime, avec des musiciens exceptionnels, un public fervent et conquis, des sourires partout... Le jazz, c'est la vie, l'amitié, la connivence ! Merci au Luc Fenoli Jazz Time Trio (Luc à la guitare, Victor Keucker - pas encore 18 ans... - aux saxos, Christian Pachiaudi à la contrebasse) pour cette super soirée ! Et en prime le bœuf avec quelques membres de la compagnie So What et Giovanni Ferro (toutes les photos ICI)



L'édito d'Alex, mai 2024



Souvenir de réflexions échangées dans les jardins de Cimiez en 85 ou 88, lors d’un concert de Miles Davis,

juchés sur un olivier


- Quand on entend ça, on se sent tout petit.

- Non, quand on se lance dans la pratique du Jazz, il ne faut pas se laisser impressionner par les grands maitres. Retenir leur leçon, OK. Leur piquer une phrase, un effet, un silence, OK. Mais les grands musiciens de Jazz ne sont pas là pour qu’on les surpasse.

Il ne faut pas s’employer à les copier, à plagier leur style, pour tenter d’être plus forts qu’eux, c’est perdu d’avance et ça ne sert à rien.

- On a vu des écrivains tenter de faire du Blaise Cendrars ou du Romain Gary, prenant les même thèmes, essayant de vivre la même vie, se promenant dans les même quartiers de la Buffa à Nice, sans succès.

- Il n’y a qu’un seul Miles Davis, qu’un seul Coltrane, qu’un seul Bix Beiderbecke, qu’un seul Eric Dolphy, qu’un seul Jimi Hendrix, qu’un seul Wes Montgomery, pour ne parler que des morts.

- Il faut donc tout mettre en œuvre pour parvenir à leur niveau, avec notre propre personnalité, sur une même horizontale, en empruntant un peu à tout le monde... comme ils l’ont fait eux-mêmes. On construit un style, individuel, ou d’orchestre de Jazz, en digérant chacun nos multiples influences. Tous les maîtres ont eu des maîtres avant eux.

- Au début, bien sûr, nos emprunts s’agencent mal. Puis on remarque, comme si on était passé en mode intelligence artificielle, qu’un style se met en place sans qu’on y réfléchisse. Il ne faut surtout pas vouloir fabriquer un son individuel ou de groupe en surajoutant des idées ou des instruments de manière artificielle au risque d’aller tout droit dans le mur. Il faut attendre, rester simple en rendant grâce à nos ancêtres.

Mais ne pas non plus faire trop modestes.

Quand on commence à trouver un travail intéressant, il faut rester réservé sans tomber dans une humilité trop prononcée qui risque de nous rendre incapable d’oser être encore meilleur. Écouter les enregistrements de répétitions et en garder le meilleur pour la séquence d’après.


Bon, tout ça c’est de la théorie. Pour ce qui est de la pratique, il suffit de temps, de travail, et d’amitié !


Retrouvez les autres éditos ICI

Miles Davis à Nice (photo : Olivier Nurock)

Concert du "dernier samedi du mois" d'avril au So What, avec le groupe GEESS


encore une grande soirée !


Après le set habituel du quintet de la COMPAGNIE SO WHAT, nous recevions le quartet GEESS. Dans une salle pleine, le groupe a donné le meilleur de lui-même et le public, comblé, ne s'y est pas trompé !

GEESS est un quartet de passionnés de jazz, formé autour de Jean-Jacques Gregis à la batterie, Dominique Bonarrigo au saxophone, Filippo Bondurri à la guitare, et Dominique Trefoloni à la basse. Le quartet explore des standards de jazz et des morceaux pop chantés et jazzifiés, ou plutôt Geessifiés, en laissant une grande part à l'improvisation et à l'interaction entre musiciens. Une musique intense et mélodique que le groupe joue régulièrement dans la région et en Italie.

http://www.geess.toile-libre.org/


Toutes les photos de la soirée sont ICI



Concert du "dernier samedi du mois" de mars au So What, avec le Giuseppe Fabris Monk Project


Avec la « Compagnie So What » en quintet en première partie.


Une musique envoutante a emballé le So What, pour ce dernier samedi de mars. De grands musiciens, reprenant d'une façon originale et personnelle l’œuvre de Thelonious Monk, l'un des plus grands génies du jazz, un public comblé et passionné... Nos vieux murs ont résonné de toutes leurs pierres !

Giuseppe Fabris : voix

Lorenzo Herrnhut-Girola : guitare

Alberto Micciché : basse

Enzo Cioffi : batterie


Retrouvez toutes les photos ICI



L'édito d'Alex, mars 2024


Au commencement était le rythme, et le rythme s’est fait chair

Moravagine (Blaise Cendrars)


L’étude serrée d’une partition de Jazz ne nous fera jamais découvrir cette palpitation initiale qui est celle du noyau générateur de l’œuvre. Elle dépend de l’état général de l’auteur, de son hérédité, de la structure de son cerveau, de la rapidité de ses réflexes, de son érotisme, etc.

Il n’y a pas de science de l’homme sans comprendre qu’il est essentiellement porteur d’un rythme. Il n’y a pas de science du Jazz. La musique en général, comme toute science, est tronquée. Le professeur Hugo Riemann fut le philologue de chaque note. A l’aide de l’étude comparée des instruments de musique, il voulut reconstituer l’étymologie de chaque son, remontant jusqu’à leur source vibratoire. Et pourtant, son activité de compositeur ne fut pas convaincante.

Il ne faut pas confondre musicien et grammairien de la musique.

De même certains musiciens de Jazz ont décortiqué, recopié et appris par cœur, après des semaines de travail, les improvisations d’un Charlie Parker ou d’un John Coltrane, pour les jouer à leur tour. Le résultat fut là aussi décevant. Les accents physiques du mouvement, la sonorité, le timbre manquaient. La pâle reconstitution, mathématiquement parfaite, ne reproduisait rien de la structure interne, de l’articulation innée, de l’esprit et du souffle qui amplifient, jusqu’à la valeur d’une signification, une sonorité creuse.

Une seule note de Miles Davis peut contenir toute une vie. Que n’atteindront jamais les spécialistes de la triple croche.

De même comment expliquer le petit miracle qui fait que dans un groupe, le même morceau, rejoué cent fois, prenne d’un coup une dimension supérieure. Rien, sinon le plaisir de la musique et l’âme de l’improvisation qui n’ont rien à voir avec la technique, fut-elle parfaite.

Verlaine nous rappelle que la musique, la nuance, la subtilité, la mélodie sont essentielles, bien plus que la rigidité des règles.

De la musique avant toute chose,

Et pour cela préfère l’Impair

Plus vague et plus soluble dans l’air,

Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.


NB : Blaise Cendrars nous apprend que Moravagine fut désespéré, après avoir étudié les théories de la musique pendant trois ans, pour ensuite se rapprocher du rythme originel, comprenant que ces études ne le menaient à rien.



Retrouvez les autres éditos ICI

Portrait de Blaise Cendrars, par Amedeo Modigliani (19717)

Répétition en public du QUARTET COMPAGNIE SO WHAT


au So What

c'était le samedi 16 mars


Après le report du concert du quartet Compagnie So What au Café Culturel Chez Pauline, les portes du So What étaient grandes ouvertes, pour ceux qui désiraient savoir comment se construit un répertoire, ou tout simplement passer un moment et repartir quand bon leur semblait.

Un bon moment de convivialité !


Photos Martine Lapchin

Photos Cédric Fioretti

Concert du "dernier samedi du mois" d'avril au So What, avec le PIMBO JAZZ QUINTET


C'était une nouvelle soirée "plaisir", au So What, avec comme toujours deux parties : un set de la COMPAGNIE SO WHAT et un set du groupe invité. Ce mois-ci, nous recevions des voisins, avec le PIMBO JAZZ QUINTET (Dominique, sax; Pierre, guitare; Isabelle, clavier; Philippe, basse; Bertrand Olivier, batterie). Encore une super soirée, chaleureuse comme on les aime, pleine de sourires, d'amitié et de bonne musique !


Les prochaines soirées du dernier samedi du mois au So What :

- samedi 28 mai : le Cascino Trio. Encore un groupe habitué du So What, lauréat des Trophées du Jazz de la Côte d'Azur voici quelques années, et qui au dernier festival Jazz sous les Bigaradiers a accompagné Liza Pannetier pour faire découvrir le jazz à tous les écoliers de La Gaude. Une musique créative, profonde et chaleureuse, autour des compositions de Patrick Cascino.

- samedi 25 juin : le Looking Up Quartet. Ce groupe transalpin talentueux, habitué du So What, nous revient avec un nouveau répertoire, orienté vers la grande époque du Hard-bop et notamment les compositions d'Horace Silver et consorts...

- samedi 24 septembre : le trio du batteur transalpin Enzo Cioffi. Un jazz contemporain et festif, avec un sourire jusqu'aux oreilles !

On a hâte de vous revoir,

A bientôt, et bon jazz !


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